En ce qui concerne le dressage à la chasse au gros gibier, limitée en France au sanglier, les choses se compliquent un peu.
Tout d'abord, il ne suffit plus d'avoir un seul Dogue, mais il en faut au moins quatre autres plus d'autres chiens de chasse. Il est fondamental de créer un groupe homogène où n'existent pas de rivalités ou d'antipathies ; aucun chien ne devra être belliqueux et, bien entendu, pour obtenir de bons résultats dans ce domaine il faudra se montrer très ferme.
Une meute composée de quatre Dogues et d'autres chiens de chasse, sera en mesure de trouver, suivre et arrêter n'importe quel sanglier sur n'importe quel terrain en surmontant toutes les difficultés topographiques.
Quand les quatre Dogues arrivent sur le sanglier, même s'il pèse deux cents kilos, ils sont en mesure de le maîtriser, pour donner au chasseur le temps d'arriver et de l'achever avec un poignard ou en lui tirant dessus.
Ce type de chasse demande des conditions très particulières ; tout d'abord il faut créer une véritable harmonie entre soi et les chiens, ceux-ci doivent se concentrer exclusivement sur le sanglier en ignorant toute autre interférence.
Il faut de plus être soi-même en parfaite condition physique, pour réussir à suivre de près ses chiens, ce qui n'est pas toujours facile dans les bois typiques des montagnes argentines où la végétation est dense et pleine de ronces.
En Europe, les propriétés sont moins étendues et l'opportunité de rencontrer d'autres animaux, comme des chiens, des chèvres ou des vaches est toujours présente. Une meute de Dogues excités par la trace du sanglier ne respecte aucun animal, et cela peut constituer un véritable problème.
En outre, aux difficultés déjà citées, s'ajoute celle de trouver un lieu adapté : une réserve de chasse ou un endroit sauvage où il n'y ait pas d'animaux domestiques en liberté. D'après les récits de certains chasseurs, les satisfactions et les émotions qui découlent de cette activité sont inoubiables ; mais pour éprouver de telles sensations, une grande préparation est nécessaire, pour le chasseur et pour ses chiens.
Toutefois, le fait d'entraîner le Dogue pour la chasse aux sangliers ne fait qu'enrichir le patrimoine génétique de la race et permet de suivre le chemin indiqué par Antonio Nores Martinez.
Tout d'abord, il ne suffit plus d'avoir un seul Dogue, mais il en faut au moins quatre autres plus d'autres chiens de chasse. Il est fondamental de créer un groupe homogène où n'existent pas de rivalités ou d'antipathies ; aucun chien ne devra être belliqueux et, bien entendu, pour obtenir de bons résultats dans ce domaine il faudra se montrer très ferme.
Une meute composée de quatre Dogues et d'autres chiens de chasse, sera en mesure de trouver, suivre et arrêter n'importe quel sanglier sur n'importe quel terrain en surmontant toutes les difficultés topographiques.
Quand les quatre Dogues arrivent sur le sanglier, même s'il pèse deux cents kilos, ils sont en mesure de le maîtriser, pour donner au chasseur le temps d'arriver et de l'achever avec un poignard ou en lui tirant dessus.
Ce type de chasse demande des conditions très particulières ; tout d'abord il faut créer une véritable harmonie entre soi et les chiens, ceux-ci doivent se concentrer exclusivement sur le sanglier en ignorant toute autre interférence.
Il faut de plus être soi-même en parfaite condition physique, pour réussir à suivre de près ses chiens, ce qui n'est pas toujours facile dans les bois typiques des montagnes argentines où la végétation est dense et pleine de ronces.
En Europe, les propriétés sont moins étendues et l'opportunité de rencontrer d'autres animaux, comme des chiens, des chèvres ou des vaches est toujours présente. Une meute de Dogues excités par la trace du sanglier ne respecte aucun animal, et cela peut constituer un véritable problème.
En outre, aux difficultés déjà citées, s'ajoute celle de trouver un lieu adapté : une réserve de chasse ou un endroit sauvage où il n'y ait pas d'animaux domestiques en liberté. D'après les récits de certains chasseurs, les satisfactions et les émotions qui découlent de cette activité sont inoubiables ; mais pour éprouver de telles sensations, une grande préparation est nécessaire, pour le chasseur et pour ses chiens.
Toutefois, le fait d'entraîner le Dogue pour la chasse aux sangliers ne fait qu'enrichir le patrimoine génétique de la race et permet de suivre le chemin indiqué par Antonio Nores Martinez.

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